VRAI : L’accès direct signifie qu’on ne passe pas par la case Médecin avant d’aller voir son kiné !
FAUX : L’accès direct a débuté en 1977 en Australie mais n’est arrivé qu’au XXIème siècle en Europe.
FAUX : L’accès direct en kinésithérapie en France en est encore à ses balbutiements. Il n’est possible qu’en urgence ou bien dans le cadre de protocoles de coopération très stricts.
VRAI : Avec les délais d’attente des différents acteurs consultés par le patient, il peut attendre de nombreuses semaines avant d’être pris en charge. Le fait de consulter plusieurs professionnels de santé différent augmente également les dépenses de santé !
VRAI : Ces intérêts peuvent être une réduction des dépenses de santé, une amélioration de la satisfaction ou de la prise en charge du patient, ou bien une valorisation de la kinésithérapie.
FAUX : Les limites sont bien réelles : il y a un besoin d’évolution des pratiques, de vision des patients, mais également du système de santé dans son ensemble afin de pouvoir mettre en place efficacement l’accès direct.
VRAI : Dans un protocole de coopération, il y a délégation de compétences d’une profession (Médecin) vers une autre (Kinésithérapeute). Attention, les compétences déléguées le sont uniquement dans le cadre strict du protocole !
VRAI : Il peut prescrire des médicaments, de l’imagerie, des arrêts de travail ou bien des séances de kinésithérapie !
FAUX : Il existe de nombreuses solutions pour s’investir à son niveau : participer aux protocoles existants, faire d’autres expérimentations (Article 51), ou bien simplement suivre les actualités !
VRAI, puisque c’est le seul. Mais ça ne durera pas : nous en sortirons bientôt d’autres !